Rejoindre la communauté

Les inégalités persistent en France

salaire logo wallp
 
Les inégalités continuent de se creuser un peu plus en France, le clivage entre les français les plus aisés et les plus pauvres s’accentue d’année en année.
L’institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) a dressé un bilan portant sur une étude datant de 2011 (derniers chiffres disponibles) selon lequel le revenu médian des français s’établirait à 1632€ par mois.
Ce revenu médian signifie tout simplement que la moitié des habitants français gagnent moins de 1632€ chaque mois contre une autre moitié qui quant à elle se trouve au-dessus de ce seuil.
Ce chiffre reste stable, là où cela pose problème c’est au niveau du rapport entre les plus riches et les plus démunis, puisque les 10% des français les moins bien rémunérés gagnent 877€ par mois en moyenne alors qu’à l’autre extrême de l’échelle sociale, les 10% les plus riches touchent une rémunération mensuelle moyenne de 3120€.
 
Nous comptons plus de riches, mais surtout beaucoup plus de pauvres en France, un total de 8.700.000 de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté en 2011 au moment de l’étude ce chiffre était orienté à la hausse, nous entendons par là les français qui perçoivent moins de 877€ par mois, la population qui est ici directement concernée est composée majoritairement de chômeurs et de jeunes.
 
En réponse à cela, le gouvernement Français assure que la situation est en train de changer grâce aux mesures qui ont été prises depuis l’arrivée au pouvoir du président François Holland en 2012.
Même si les mesures imposées en France depuis ces vingt dernières années tendent à montrer que les inégalités restent moins prononcées sur le sol français qu’ailleurs dans d’autres pays occidentaux voisins, il subsiste tout de même des disparités importantes entre le premier et le dixième décile de l’échelle sociale française qui ne sont pas négligeables.
 

Articles sur le même sujet

Réagissez à cet article forex "Les inégalités persistent en France"

  1. Trader invité Claudec

    La pauvreté – comme la richesse – est une composante de la société, structurelle et mécanique, aussi relative qu'incontournable ; et les inégalités de toutes sortes en résultent. En prendre conscience serait le premier pas à faire pour atténuer cette pauvreté et ces inégalités, voire les maîtriser, à défaut de pouvoir les éradiquer. La preuve a en été largement administrée depuis plus 20 siècles, durant lesquels les raisonnements, les doctrines ainsi que les méthodes et les moyens appliqués pour les combattre n'ont fait que les augmenter et les exacerber.
    En occident comme ailleurs, dans les pays développés comme dans les autres, la société des hommes est, a toujours été et sera jusqu’à sa fin, faite d’inégalités. L’exception y domine la masse ; le pouvoir y domine le peuple, la force la faiblesse, l’intelligence la sottise, le savoir l’ignorance , la richesse la pauvreté etc. ; dans tous leurs aspects. Et plus les richesses augmentent – qu’elles soient d’ordre matériel ou immatériel –, plus s’accroît l’écart entre le sommet d'une pyramide sociale qui n’a pas d’autres limites que l'ambition humaine et les capacités de la planète et, à l’opposé, une base où règnent la pauvreté absolue et l'indignité, dernier état de la condition humaine.
    Il existe des chiffres et un mécanisme vieux comme le monde, dont il faudrait pourtant avoir clairement conscience avant de tenter quoi que ce soit d’utile pour secourir durablement les plus nécessiteux d’entre nous, qu'il s'agisse de continents, de nations, de régions, comme d'individus.
    À l’aube de notre ère, la Terre était peuplée d’environ 250 millions d’êtres humains. Elle en compte plus de 7 milliards aujourd’hui, dont 1,5 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde. L’homme et le progrès dont il est porteur ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu’il n’y avait d’individus de toutes conditions sur terre au début de leur entreprise. Et la population augmente, quotidiennement, de 220 à 250 000 âmes qui viennent dans leur grande majorité surpeupler la base d’une pyramide sociale dans laquelle le "descenseur social" prend le pas sur l’ascenseur du même nom démontrant, s'il en était besoin, que la pauvreté est plus facile à partager que la richesse.
    Pour approfondir cette réaction, voir :
    http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
    Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.

Ajoutez un commentaire

Trader invité Poster en tant que Invité
optionnel: vous recevrez les réponses suivantes par email (ne sera pas affiché sur le site)
Test anti-spam cette vérification apparaît car
vous n'êtes pas identifié sur forexagone