Les options sur le brut on atteint ce vendredi leur plus haut niveau à la clôture des cotations en 29 mois, la poursuite des violences en Afrique du Nord et au Moyen-Orient alimentant les craintes d'une interruption des fournitures provenant des pays producteurs de la région.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 105.09 USD le baril à la fermeture des marchés de vendredi, gagnant 7.8% sur la semaine.
Ils avaient bondi ce jour-là de 3.2% pour culminer à 105.15 USD, leur cours le plus élevé depuis la fin septembre 2008, les rebelles armés ayant continué à se heurter aux forces de l'ordre près de Ras Lanuf, un terminal pétrolier de première importance situé dans l'est du pays, tandis qu'Al Jazeera annonçait que le port de Zuetina, situé dans la même région, était en feu.
La crainte que les troubles qui ont secoué le Moyen-Orient le mois passé ne s'étendent à l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial d'or noir, a également tiré les prix vers le haut.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Goldman Sachs a déclaré dans son rapport de vendredi sur la Libye que le pays, qui était auparavant "un pays producteur de pétrole subissant des émeutes" avait vu "son industrie pétrolière prise pour cible".
Le broker a ajouté: "Le marché pétrolier vit actuellement dans l'angoisse d'une extension des troubles aux autres producteurs de la région, estimant que des perturbations supplémentaires crééraient des pénuries importantes et exigeraient un rationnement."
L'Agence Internationale de l'Energie a pour sa part annoncé que les violences libyennes avaient forcé le pays à interrompre environ deux tiers de sa production.
Les cours de l'or noir ont pris près de 20% depuis le commencement de la révolte populaire en Libye à l'orée du mois de février.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont engrangé 3.7% pour grimper à 116.1 USD du baril, soit 11.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Source : FxPros
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 105.09 USD le baril à la fermeture des marchés de vendredi, gagnant 7.8% sur la semaine.
Ils avaient bondi ce jour-là de 3.2% pour culminer à 105.15 USD, leur cours le plus élevé depuis la fin septembre 2008, les rebelles armés ayant continué à se heurter aux forces de l'ordre près de Ras Lanuf, un terminal pétrolier de première importance situé dans l'est du pays, tandis qu'Al Jazeera annonçait que le port de Zuetina, situé dans la même région, était en feu.
La crainte que les troubles qui ont secoué le Moyen-Orient le mois passé ne s'étendent à l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial d'or noir, a également tiré les prix vers le haut.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Goldman Sachs a déclaré dans son rapport de vendredi sur la Libye que le pays, qui était auparavant "un pays producteur de pétrole subissant des émeutes" avait vu "son industrie pétrolière prise pour cible".
Le broker a ajouté: "Le marché pétrolier vit actuellement dans l'angoisse d'une extension des troubles aux autres producteurs de la région, estimant que des perturbations supplémentaires crééraient des pénuries importantes et exigeraient un rationnement."
L'Agence Internationale de l'Energie a pour sa part annoncé que les violences libyennes avaient forcé le pays à interrompre environ deux tiers de sa production.
Les cours de l'or noir ont pris près de 20% depuis le commencement de la révolte populaire en Libye à l'orée du mois de février.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont engrangé 3.7% pour grimper à 116.1 USD du baril, soit 11.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Source : FxPros