Deux semaines après l’écrasante victoire d’Angela Merkel aux législatives allemandes, c’est une nouvelle figure féminine qui se retrouve sous les projecteurs de la scène internationale : Janet Yellen.
Cette économiste de 67 ans, qui depuis quatre années porte le statut de vice présidente à la Fed, sera conduite en janvier au trône de la Réserve Fédérale des Etats-Unis et régnera en reine sur l’économie américaine.
Titulaire d’un doctorat en économie à Yale, elle fut encadrée par le prix Nobel en économie James Tobin. En 1994, elle est choisie par Bill Clinton pour le poste de gouverneur à la Fed puis au poste de conseillère à la Maison Blanche en 1997.
En 2004, elle revient à la Réserve Fédérale et prendra les commandes de l’antenne régionale de San Francisco jusqu’en 2010.
Apres la révélation de Barack Obama en juin sur le non renouvellement du mandat de Ben Bernanke à la tête de la banque centrale américaine, la guerre de succession fut très intense entre les deux favoris, Larry Summers et Janet Yellen, considérés comme deux titans de la scène économique. Malgré un certain avantage pour Summers du point de vue compétences et envergures intellectuelles mais aussi membre proche du président Obama, ce dernier ne réussira pas face à une Yellen soutenue par Wall Street, par les féministes et surtout par les Démocrates qui saluent l’implication première de madame Yellen sur le plan de l’emploi.
Déjà en 2005, elle attire l’attention des gouverneurs, en affichant son inquiétude sur l’essor incroyable de l’immobilier, puis à Wall Street plusieurs la surnomme la « Colombe » pour son intérêt premier sur la question de l’emploi. Elle va devenir la première Démocrate à la tête de la Fed après 25 ans. Cette femme qui sera en janvier la plus puissante femme du monde, pourra-t-elle répondre aux cris de désespoir de millions d’américains au chômage ? Pourra-t-elle booster l’économie et redonner au billet vert sa brillance d’avant ?
Cette économiste de 67 ans, qui depuis quatre années porte le statut de vice présidente à la Fed, sera conduite en janvier au trône de la Réserve Fédérale des Etats-Unis et régnera en reine sur l’économie américaine.
Titulaire d’un doctorat en économie à Yale, elle fut encadrée par le prix Nobel en économie James Tobin. En 1994, elle est choisie par Bill Clinton pour le poste de gouverneur à la Fed puis au poste de conseillère à la Maison Blanche en 1997.
En 2004, elle revient à la Réserve Fédérale et prendra les commandes de l’antenne régionale de San Francisco jusqu’en 2010.
Apres la révélation de Barack Obama en juin sur le non renouvellement du mandat de Ben Bernanke à la tête de la banque centrale américaine, la guerre de succession fut très intense entre les deux favoris, Larry Summers et Janet Yellen, considérés comme deux titans de la scène économique. Malgré un certain avantage pour Summers du point de vue compétences et envergures intellectuelles mais aussi membre proche du président Obama, ce dernier ne réussira pas face à une Yellen soutenue par Wall Street, par les féministes et surtout par les Démocrates qui saluent l’implication première de madame Yellen sur le plan de l’emploi.
Déjà en 2005, elle attire l’attention des gouverneurs, en affichant son inquiétude sur l’essor incroyable de l’immobilier, puis à Wall Street plusieurs la surnomme la « Colombe » pour son intérêt premier sur la question de l’emploi. Elle va devenir la première Démocrate à la tête de la Fed après 25 ans. Cette femme qui sera en janvier la plus puissante femme du monde, pourra-t-elle répondre aux cris de désespoir de millions d’américains au chômage ? Pourra-t-elle booster l’économie et redonner au billet vert sa brillance d’avant ?