Suivi de la paire Eur / Usd semaine du 28/02/2011 au 03/03/2011

Analyse EUR USD pour le 01 Mars 2011

Baissier dessous ces points 1,3808 - 1,3797 – 1,3782 – 1,3746 – 1,3662

Rien de bien nouveau depuis hier EURUSD a buté sur les 1,3860 tant que les 1,3860 tiennent la correction est possible.

Le premier point à surveiller les 1,3808 qui semble être le premier support pour les haussier en cas de cassure 1,3780 – 1,3711 seront sur la route.

Une consolidation dessous les 1,3860 est possible et au dessus des 1,3750, une cassure des 1,3650 pourrait être le début d'une correction plus profonde.

USDYEN support à 82,20 biais haussier au dessus de ce point
USDCHF support à 0,9339 biais haussier au dessus de ce point

GBPYEN a trouvé un support sur les 131,35 qui est la SMA150 daily le chandelier d'hier avale fortement celui de vendredi.

Supports : 1,3808 - 1,3797 – 1,3782 – 1,3746 – 1,3662
Résistances : 1,3840 - 1,3860 – 1,3972 – 1,4021 – 1,4282

Points pivots Daily :

R3 1,4023
R2 1,3939
R1 1,3880
PP 1,3796
S1 1,3737
S2 1,3653
S3 1,3594

Bien à vous
Gilbert Drouvroy

merci yorgo pour cette annalyse

a bientot

- Forte chute du Dollar Index de l'IntercontinentalExchange Inc

- Hausse de la couronne suédoise après la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la Riksbank

- Journée importante pour les banques centrales

Hier, alors que l'agitation des bourses arabes épargnait les bourses européennes, le dollar américain a fortement chuté en raison de spéculations selon lesquelles la BCE devrait être plus agressive que la Fed afin de contrôler l'inflation. Les spéculateurs s'attendent à ce que Jean Claude Trichet, lors de la réunion de la BCE de jeudi souligne sa disposition à faire un geste sur les taux alors que Ben Bernanke devrait réaffirmer encore une fois sa volonté de poursuivre le programme d'assouplissement quantitatif lors d'un discours prévu aujourd'hui devant le Comité bancaire du Sénat. Sur le court terme, il est probable que le principal facteur de hausse de l'euro soit le différentiel de taux qui existe entre les deux bords de l'Atlantique. La conséquence de ces spéculations ne s'est pas faite attendre puisque le dollar a considérablement chuté face à l'euro. Le dollar Index, qui est calculé par rapport à six autres monnaies, a chuté à son plus bas niveau depuis novembre 2009.

En Suède, la couronne a atteint un plus haut niveau depuis près de trente mois face à l'USD suite aux propos tenus par le gouverneur Stefan Ingves. Ce dernier a en effet affirmé que les taux pourraient être augmenté systématiquement à chaque réunion du comité de politique monétaire cette année selon la publication du compte-rendu de la réunion du 14 février dernier. La Riksbank a relevé ce mois-ci son taux repo pour la cinquième fois depuisjuillet 2010.

Bonne séance également pour le CAD qui a atteint son plus haut niveau depuis novembre 2007 face au billet vert après qu'un rapport gouvernemental ait souligné que la croissance économique a progressé au quatrième trimestre de 3.3% sur un an, soit nettement au-delà des prévisions des analystes.

Enfin, le rand sud-africain profite encore des retombées des évènements en Libye et dans d'autres pays arabes, progressant de 0.6% hier face au billet vert. De nouvelles hausses des taux sont à prévoir comme l'a laissé entendre il y a quelques jours le ministre des Finances Pravin Gordhan.

Aujourd'hui, le calendrier économique est très chargé et débutera avec des réunions de politique monétaire en Australie et aussi au Canada. Dans les deux cas, le statu quo est attendu bien qu'à terme des hausses devraient intervenir. Sur le front purement macroéconomique, plusieurs publications à surveiller aujourd'hui, notamment le PIB suisse qui est attendu en léger recul et l'ISM manufacturier américain qui pourrait baisser légèrement. En Europe, l'actualité sera sûrement marquée par les chiffres en Allemagne qui ne devraient cependant pas avoir un impact conséquent sur l'euro. La monnaie unique est en phase de progression et ce, au moins jusqu'à la réunion de la BCE. Les propos tenus par Ben Bernanke aujourd'hui pourraient également profiter à l'EUR.

Encore merci pour ces indic même si j'aime que l'on me donne du poisson j'aprécirai apprendre à pêcher ^^

Très certainement dans l'attente de la publication de l' ISM US.
Pas mal de yoyo (sideways) comme on peut le voir en H1 sur le graph.
La conservation des 1.3800 est cruciale.... (38.2 %)

ouccch sa a fait mal mais impossible de l'anticiper pas de données sur l'outils forexagone -_-

on a eut chaud normalement sa du faire office de frein a la monté

Analyse EUR USD pour le 02 Mars 2011

Baissier dessous ces points 1,3773 - 1,3790 - 1,3786 – 1,3758 – 1,3675

Un petit biais baissier est en place dessous la zone des 1,3762/1,3798, mais dans le cadre d'une consolidation dessous une forte résistance c'est un peu normal, en cas de rupture de cette zone un nouveau test des 1,3860 est possible. Une cassure des 1,3860 verra les 1,4040 qui est mon objectif depuis le creux en adam et eve. A vrai dire je ne vois pas EURUSD descendre sauf correction technique. EURUSD est fortement corrélé aux métaux précieux à cause de sa forte implication dans l'index dollar.

Maintenant si les métaux précieux plongent EURUSD pourrait suivre, mais bon toujours pareil je vois mal les acheteurs de métaux précieux vendre leurs métaux pour une devise. Les indices qu'ils soient américains ou européens traînent la patte et les graphs commencent à avoir une sale figure. Donc il va falloir se ressaisir sinon ca va être la grande descente.

Supports : 1,3758 – 1,3715 - 1,3675
Résistances : 1,3773 - 1,3790 – 1,3808 - 1,3840 - 1,3860 – 1,3972 – 1,4021 – 1,4282

Points pivots Daily :

R3 1,3919
R2 1,3887
R1 1,3828
PP 1,3796
S1 1,3737
S2 1,3705
S3 1,3646

Bien à vous
Gilbert Drouvroy

En pleine crise de la dette souveraine, nombreuses sont les capitales européennes qui ont souligné la nécessité de contrer l’influence des agences de notation financière américaines dont les méthodes sont contestées. A coup de dégradation des notes de la dette, S&P, Moody’s and Fitch affolent les marchés financiers.

Dans un document de travail officiel soumis à consultation en novembre dernier, la Commission Européenne a suggéré l’idée de créer une agence de notation financière européenne sous l’égide de la Banque Centrale Européenne, ce qui conduirait l’institut monétaire à émettre des notations concernant la dette des pays de la zone euro. Paris et Berlin étaient nettement favorables à une telle solution qui aurait pu permettre de réduire, au moins un peu, l’influence des agences américaines.

Jean Claude Trichet n’a jamais été favorable à une telle solution, les équipes de la BCE rejoignant leur président sur ce point. Il y a quelques jours, la BCE a affirmé sur son site internet qu’il n’est pas de son rôle de noter les dettes des pays membres. Cependant, confrontée à la crise de la dette, la BCE a décidé de revoir un peu son modèle, affirmant qu’elle a entamé "un processus pour améliorer et développer ses capacités internes pour évaluer indépendamment la solvabilité des émetteurs" de dette.

La BCE rejette également l’autre idée évoquée par la Commission Européenne, à savoir l’instauration d’une agence de notation qui serait un partenariat public/privé, partenariat qui laisse dubitatif Francfort, soulignant que toutes les conditions en matière d’indépendance ne sont pas garanties. Reste à savoir aussi si "la création d'une agence semi-publique permettra d'augmenter la concurrence (parmi les agences de notations) ou bien créera des barrières artificielles à l'entrée de nouvelles structures privées et réduira donc en conséquence cette concurrence", poursuit la BCE sur son site internet.

Afin de satisfaire les capitales européennes, Francfort envisage toutefois une solution de rechange qui constituerait à favoriser l’émergence d’un réseau européen de petites et moyennes agences de notation financière. Cependant, il n’est pas certain que ces agences pèsent lourd face aux géants américains. Cette solution de compromis risque surtout de n’aboutir à rien selon de nombreux analystes.

Sur le front économique, l'ISM manufacturier a atteint un plus haut niveau depuis mai 2004, enregistrant son 19ème mois consécutif de hausse. L'indice est ressorti à 61.4 en février contre 60.8 en janvier alors que les économistes s'attendaient à une augmentation plus faible, à 61.0.

Sur le marché des matières premières, l'or a atteint de nouveaux records en raison des troubles géopolitiques dans le monde arabe, gravissant à 1432 dollars l'once. Les cours du baril sont également remontés à New York hier soir, le light sweet crude pour livraison en avril terminant à 99.63 dollars, en hausse de 2.66 dollars par rapport à la veille. Cette fois, c'est l'Iran qui a secoué les investisseurs à cause d'émeutes entre des membres de l'opposition et les forces de sécurité.

Enfin, petit changement à la Fed avec la nomination à San Francisco de l'économiste John Williams qui succède à Janet Yellen, devenue depuis l'automne dernier la vice-président de la banque centrale américaine. Williams était jusque là vice-président directeur de la Fed de San Francisco. En devenant président directeur général de l'institution, il acquière ainsi le droit de vote au sein du FOMC mais seulement en 2012 en raison d'une rotation entre les antennes régionales.

- L'agitation dans les pays arabes se poursuit, favorisant un repli sur les valeurs refuge

- L'ISM manufacturier et les propos de Ben Bernanke ont favorisé le dollar

- Maintien des taux directeurs à 1% au Canada

- Maintien à 4.75% des taux directeurs en Australie

Hier, le dollar américain a connu une excellente séance, effaçant les pertes des derniers jours face à l'EUR. Les évènements géopolitiques au Moyen Orient ont favorisé l'aversion au risque, profitant à la fois au yen et au billet vert. L'USD a également bénéficié d'une hausse rapide de l'ISM manufacturier qui a atteint son plus haut niveau depuis 2004. Les propos de Ben Bernanke devant le Comité bancaire du Sénat ont également, à la surprise générale, permis au dollar de reprendre du terrain. S'exprimant sur la hausse des matières premières et notamment du pétrole, le patron de la Fed a affirmé que cette hausse n'entravera pas le retour à la croissance des Etats-Unis. Concernant l'inflation, Ben Bernanke s'est tenu à ses propos précédents, reconnaissant une légère hausse de l'indice des prix à la consommation mais ne s'en inquiétant pas pour autant. Au final, le dollar a fini en hausse de 0.2% face à l'euro.

Sur fond d'accentuation des tensions en Iran entre les partisans de l'opposition et le régime, le yen aussi a effacé ses pertes face à la monnaie unique européenne.

Bonne performance également pour la livre sterling puisque la devise est passée au-dessus de 1.63 dollar pour la première fois depuis janvier 2010 après une hausse inattendue des prix immobiliers outre-Manche, ce qui a renforcé les spéculations de relèvement des taux directeurs de la BoE.

Enfin, la Russie a annoncé hier l'élargissement de la bande de fluctuation du rouble afin de lutter plus efficacement contre l'envolée des prix à la consommation.

Aujourd'hui, le calendrier économique est très peu chargé avec, essentiellement, les résultats de l'enquête ADP cet après-midi. Ces chiffres auront une importance particulière en raison de la publication le lendemain des demandes hebdomadaires d'allocation chômage et surtout des non-farm payrolls vendredi qui auront un impact majeur sur les marchés financiers.

Il est probable que les évènements dans les pays arabes continuent d'influencer le comportement des investisseurs, les poussant vers les valeurs refuge, notamment l'or, et favorisant la hausse de l'or noir. La séance de jeudi pourrait être éventuellement plus profitable à l'euro si les propos de Jean Claude Trichet vont dans le sens attendu par les cambistes.

Cherchez un écart de + ou - 50 K par rapport au prévisisions. (Prévision fixée à 185 K donc 235 K ou 135 K pour ce qui nous intéresse).
En cas de chiffre non atteint pour la déviation préconisée, restez à l'écart ou attendez un retracement pour prendre position après la publication du chiffre de l'ADP.
Il est clair qu'une baisse de l'ADP sur le chiffre préconisé soit 135 K favoriserait l'€uro, afin de combler la perte de la veillesuite à la parution de l'ISM. A savoir que le ratio de productivité n'est pas nécessairement corrélé avec le ratio de l'emploi, mais qu'il peut y contribuer, nous resterons particulierement attentif au chiffre ADP, celui-ci étant en général l'anonciateur directionnel du NFP....

Bonjour,
Pensez vous que plusieur echecs sur les 1.3850, ne gène pas à un nouveau test?

Géopolitique: Reuters rapporte des avions de guerre bombardent des positions rebelles en Libye. les marchés boursiers du Golfe risquent de plonger plus loin.
2 mars 10:01:52

Analyse EUR USD pour le 03 Mars 2011

Baissier dessous ces points 1,3857 - 1,3835 - 1,3816 – 1,3783 – 1,3693

La Hausse s'essouffle sur EURUSD, non pas en terme de prix mais en terme de MACD ce qui pourrait être une divergence à toujours vouloir plus haut on finit par ne plus rien avoir. Je reste sceptique sur la chute de 14$ ce matin de l'once d'or, vu le prix de l'actif pour certains cela ressemble à pas grand chose mais c'est 14$ quand même surtout que cela se fait sur un sommet, l'argent a fait de même un petit recul.

Ici aussi l'indicateur MACD n'est pas tout à fait en accord avec les prix de XAU et XAG, bien sûr tant que de nouveaux plus hauts sont faits tout va bien mais il ne faudrait pas tomber dans l'excès.

Donc dans l'ensemble je dirais qu'il faut rester prudent très prudent.

Supports : 1,3857 - 1,3835 - 1,3816 – 1,3783 – 1,3693
Résistances : 1,3890 - 1,3972 – 1,4021 – 1,4282

Points pivots Daily :

R3 1,4068
R2 1,3979
R1 1,3922
PP 1,3833
S1 1,3776
S2 1,3687
S3 1,3630

Bien à vous
Gilbert Drouvroy

La parution des chifrres de ce début de journée sont en-dessous des attentes, le marché réagit à la baisse et c'est normal.
CEReste a venir le PIB, ventes aux détails et la taux d'intérêt de la BCE. Tout çà dans la matinée risque de faire mal....
Pour l'instant première secousse suuite à la publication des PMI Allemand et de la zone €uro.
Wait and see ....

La baisse enregistrée durant la nuit dernière par la parité EUR/USD jusqu’à 1.3744 suite aux commentaires négatifs sur le Portugal aura été de courte durée, avec une remontée de celle-ci à 1.3890! C’est le dollar qui souffre de la forte appréciation du pétrole et des métaux précieux face à l’ensemble des monnaies principales, et non pas une soudaine force de l’euro, bien que les derniers indicateurs économiques soient au vert et que l’on observe la volonté politique de trouver des solutions communes pour la zone euro. Pour ce jeudi, la réunion de la BCE, avec une éventuelle surprise de hausse de taux, devrait entraîner une volatilité importante, avec un canal de fluctuation compris entre 1.3750-1.3900.

Au dernier trimestre 2010, l'Australie a affiché une croissance de 0.7% par rapport aux trois mois précédents, en dépit des innondations qui ont ravagé une partie du pays. Comme lors du trimestre précédent, le taux de croissance annuel reste à 2.7%.

Aux Etats-Unis, les créations d'emplois dans le secteur privé américain ont été supérieures aux attentes en février selon l'enquête ADP. Environ 217 000 postes ont été créés en février alors que les économistes ne s'attendaient qu'à 175 000 créations.

Par ailleurs, de nouvelles tensions sur le marché obligataire européen sont apparues aujourd'hui suite à l'annonce de l'agence Standard & Poor's de maintenir sous surveillance négative la note de la dette du Portugal dans l'attente d'une décision européenne sur les conditions du futur mécanisme de stabilisation financière. Ainsi, la note de la dette du pays est toujours à « A- ».

Sur le front pétrolier, les stocks américains de pétrole brut ont diminué de façon inattendue la semaine dernière selon l'EIA, reculant de 364 000 barils alors que les économistes attendaient une hausse de 700 000 barils.

- Nette chute du dollar en dépit de l'enquête ADP

- Le franc suisse capitalise sur son statut de valeur refuge

- Nouveaux émois sur le marché obligataire européen

- J-1 pour les chiffres du chômage américain

Chute quasi généralisée hier du billet vert sur le marché des changes principalement en raison de l'approche de la réunion de la BCE. Bien qu'aucun analyste ne s'attend à un relèvement des taux dans la zone euro dès aujourd'hui, nombreux attendent un discours nettement plus incisif de Jean Claude Trichet vis à vis de l'inflation. Dans la perspective, présentée comme presque certaine, d'une accentuation du différentiel de taux entre les deux bords de l'Atlantique, la monnaie unique a pris beaucoup d'avance au cours de la seule séance d'hier, s'échangeant à la clôture au-dessus de 1.38 dollar. Si, comme prévu, Jean Claude Trichet répond aux attentes des cambistes, l'euro pourrait continuer de grimper mais, dans le cas inverse, une forte chute est à prévoir. C'est quitte ou double.

Pénalisé par la politique monétaire très accomodante de la Fed, le billet vert n'a même pas profité aujourd'hui de l'accentuation des tensions régionales ou encore des bons chiffres de l'enquête ADP qui pourraient relancer un peu l'optimisme des investisseurs au sujet du marché de l'emploi américain à un jour de la publication des non-farm payrolls. Le Beige Book a en revanche fait tout simplement écho aux propos tenus mardi par Ben Bernanke, selon lesquels l'économie américaine est sur la pente ascendante mais à un rythme très lent.

Du côté des autres devises, la situation est peu différente des derniers jours. En effet, le franc suisse, valeur refuge par excellence, a poursuivi son renforcement, atteignant même au cours de la séance d'hier un record historique face au dollar mais restant en revanche stable face à la monnaie unique européenne. La hausse du cours des matières premières a emporté une fois n'est pas coutume la couronne norvégienne qui a atteint son plus haut niveau depuis novembre 2009 face au dollar à 5.5472 avant de rebaisser un peu.

Par ailleurs, le dollar néo-zélandais a atteint un plus bas niveau depuis le début d'année face à l'USD suite aux propos du Premier ministre John Key qui a affirmé que les marchés financiers s'attendent à une baisse des taux directeurs en raison du récent tremblement de terre.

Outre la réunion de la BCE, la séance d'aujourd'hui sera marquée par la publication du PIB de la zone euro qui n'aura aucun impact sur les paires de devises et aussi par la publication de l'ISM non manufacturier, attendu en hausse, et des demandes d'allocation chômage hebdomadaires. Une fois la réunion de la BCE finie, les investisseurs patientront jusqu'à vendredi pour la publication des non-farm payrolls qui risquent d'avoir un impact sur les échanges jusqu'à lundi.

Dans l'attente anxieuse des taux de la BCE en début d'après-midi, la paire la plus liquide du monde a touché un nouveau plus haut hier à 1.3895 confirmant la tendance haussière initiée le 13 janvier 2011.
En données journalières reste toujours haussier même si les bulls ont beaucoup de mal à faire décoller la paire eur/usd. Un ralliement des 1.40 voire 1.41 serait donc dans l'ordre des choses malgré l'attentisme qui prévaut en raison du possible relèvement des taux pour pallier l'inflation en zone euro.