Angela Merkel a durci le ton avant-hier. Son ministre des finances avait déjà annoncé la couleur juste avant, et il est clair que l'Allemagne en a assez des blabla. Quelque part, c'est vrai qu'en 3 ans on a peu avancé dans la résolution de la crise et que l'excuse des élections un peu partout ne peut pas perdurer.
N'empêche, la phrase est forte : "pas d'euro-obligations tant que je vivrai" mais elle a été prononcée devant son propre parlement, c'est aussi de la politique interne, ne nous leurrons pas.
N'empêche, la phrase est forte : "pas d'euro-obligations tant que je vivrai" mais elle a été prononcée devant son propre parlement, c'est aussi de la politique interne, ne nous leurrons pas.