En ces périodes de crises mondiales le vin serait-il devenu une valeur refuse au même titre que le métal jaune qu’est l’or souvent considéré comme tel ?
Il existe toujours certaines personnes qui achètent du vin et qui se disent que ces bouteilles, dans quelques années vaudront plus chères que le prix actuel auquel ils les ont achetées. Il peut y avoir certaines opportunités telles quelles et certains individus peuvent alors se dirent qu’ils vont acheter du vin et faire leur propre cave et si d’ici quelques années ils rencontrent un problème de trésorerie et que le marché aura été bénéfique sur la valeur ajoutée de ces vins alors ils n’hésiteront pas à vendre leurs vins afin d’en tirer profit.
Acheter du vin dans le but de spéculer, beaucoup d’experts ne sont pas réellement favorables à cela. Beaucoup d’amateurs de vin achètent des bouteilles par plaisir dans un premier temps et non pas dans une optique d’investissement, la plus grande satisfaction pour un amateur de vin se trouve au niveau du palet et réside dans la dégustation.
Investir dans le vin n’est pas nouveau, c’est une pratique très ancienne qui explique d’ailleurs l’existence de crus classés mais pour les particuliers le phénomène est quelque chose d’assez nouveau, cela date de la possibilité d’acheter du vin aux primeurs (milieu des années 80’).
Pour investir dans le vin cela demande parfois des moyens, les fonds d’investissement dédiés aux grandes fortunes sont seulement accessibles aux investisseurs les plus capitalisés puisque les tickets d’entrée sont généralement de plusieurs centaines de milliers d’euros voire même 1 million d’euros. En revanche pour les particuliers il est possible d’investir dans le vin avec des montants d’argent beaucoup plus faibles puisqu’investir dans un premier cru classé suivant les millésimes représente entre 100€ et 500€ la bouteille faisant ainsi du marché du vin un marché accessible comparable au marché du Forex qui lui aussi ne nécessite que quelques centaines d’euros pour commencer à investir sur les devises.
